Compositeurs
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Alexandre BORODINE Musicien russe, né et mort à Saint-Pétersbourg (1833 - 1887). Professeur de chimie à l'Académie de médecine et de chirurgie de Saint-Pétersbourg, conseiller d'état, il ne cessa de s'occuper de musique avec passion. Son seul opéra, le prince Igor, dont sont extraites les Danses Polovtsiennes, a été représenté trois ans après sa mort en 1890. |
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Pierre BOUTTIER (signé Jean cabon, un de ses neveux) Né à Redon en 1916, il mourut à Versailles en 1999. Il est enterré à Concarneau auprès de mon père. Il enseigna la musique au collège Saint Jean de Béthune à Versailles de 1941 à 1995. A propos de sa vocation musicale il disait : "Ma vocation musicale est née très tôt. Quand j'entendais ma mère chanter, jouer du piano ou quand j'écoutais l'orgue à l'église. J'aimais bien la mer et m'y sentais attiré, comme mon père qui était capitaine au long cours. Il n'y a pas eu un grand débat dans ma vocation : je ne serai pas marin mais prêtre musicien, oui, prêtre exerçant son sacerdoce par la musique; j'ai toujours lié les deux vocations. La nature m'a un peu diminué pour manier l'art de la parole, je ne suis pas un orateur, le Bon Dieu ne m'a pas donné la parole mais la musique. Je serai prêtre musicien, je prêcherai avec la musique puisque la musique est un langage, et, comme tout langage, il peut exprimer le sentiment religieux. Pour moi, la musique exprime le sentiment religieux d'une manière extrêmement profonde." Ces propos ont été recueillis par le Père Morel à l'occasion du centenaire du collège. L'Ave Verum que nous chantons a été composé en 1956. |
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Johannes BRAHMS Initié à la musique par son père, modeste musicien d'orchestre, Johannes Brahms devient l'élève du pianiste Cossel, puis parfait sa formation d'instrumentiste auprès d'Eduard Marxen, professeur renommé qui l'initie à la composition. A vingt ans, il effectue une tournée de concerts en compagnie du violoniste Reményi. Il rencontre Joachim, Liszt, et surtout Schumann : lui et sa femme Clara nouent une inaltérable amitié avec le jeune compositeur. Il accepte des fonctions officielles pour de courtes durées afin de se consacrer à la composition. Très expressifs, les poèmes mis en musique par Brahms portent généralement sur le passé, l'enfance à jamais perdue, les amours manqués, la séparation... Romantique, son oeuvre tient pourtant la marque du classicisme, car il intègre à son propre langage les techniques d'écriture et les formes musicales léguées par ses prédécesseurs. Installé à Vienne à partir de 1862, il y meurt d'un cancer en 1897. |
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Guillaume COSTELEY Musicien français, né de parents écossais en 1531, mort à Evreux en 1606, ville dans laquelle il se retira d'assez bonne heure. Il fut organiste et valet de chambre d'Henri II et Charles IX. Il composa un assez grand nombre de chansons à quatre ou cinq voix, parfois sur des poèmes de Ronsard. |
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Norbert FEIBEL Musicien allemand, né en 1944 à Saint Ingbert dans la Saar. Organiste à Saint Konrad dans sa ville natale dès 1958. Chef de choeur, il dirige par la suite l'orchestre de la ville de Saint Ingbert. Compositeur, il est également l'auteur de nombreux arrangements dont le célèbre "sur le pont d'Avignon". |
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Gualtiero DAZZI | |
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Carl ORFF | |
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Arvo PÄRT Il est né en 1935 à Paide en Estonie. Compositeur de musique contemporaine, iIl est souvent associé au mouvement de musique minimaliste qui s'est formé à partir des années 1960. "Je pourrais comparer ma musique à une lumière blanche dans laquelle sont contenues toutes les lumières. Seul un prisme peut dissocier ces couleurs et les rendre visibles : ce prisme pourrait être l'esprit de l'auditeur " |
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Francis POULENC Compositeur français (1899-1963), membre du Groupe des Six, pianiste au style intelligent, naturel et extrêmement mélodieux, en décalage avec une époque marquée d'avantage par le sérialisme et la Seconde école de Vienne (Schönberg, Berg, Webern). On lui doit de nombreuses mélodies, des oeuvres de musique de chambre, pour piano solo, des motets religieux, un Gloria très connu ainsi que son magistral Dialogue des Carmélites, sur un texte de Georges Bernanos. |